Le 14 février 2008, en ce jour de Saint-Valentin, nous nous déplaçons pour le compte de la 7ème Journée de Départementale 2 B. Nous nous rendons à Retiers, qui n'est pas la porte à coté, mais encore faut-il arriver parce qu'on a failli sortir de la route et on a failli louper la sortie et se prendre le trottoir (désolé Gaétan on m'a demandé de le mettre dans mon compte rendu).

On commence par le simple hommes 1 avec Benji, le simple hommes 2 avec Benny (moi-même), puis le simple dames 2 avec Vanessa. Tout commence bien pour les deux simples hommes, Benji gagne le premier set face à Thomas Boiveau (21/12). De mon côté, je gagne également avec facilité le premier set face à Franck Oger (21/13), malgré un changement de raquette, pour cordage cassé (après le premier coup). Du coté du simple dames 2, Vanessa a un peu plus de mal, elle s'incline au premier set contre Linda Dion (6/21). On attaque les deuxièmes sets, chez les simples hommes, c'est encore un set similaire, Craquage. Benji perd le second set (17/21) et je perds également mon second set (18/21). Quant à Vanessa, elle perd son second set, et cela permet à Retiers de passer devant au niveau du score. Après une petite séance de coaching, c'est reparti pour le dernier set des simples hommes. Benji gagne son troisième set (21/15) et nous permet d'égaliser ; quant à moi, j'ai retrouvé - grâce au coaching - la tactique pour enfiler les points. Je gagne finalement le troisième set (21/14).

C'est maintenant au tour du simple dames 1 avec Ophélie et du mixte avec Emilie et Benji. Ophélie joue pour la première fois le simple 1 à cause des nouveaux classements de f évrier, elle arrive à s'accrocher au premier set (17/21) contre Karine Brignonen, mais, au second set, malgré un bon coaching, elle s'incline (8/21). Son adversaire - elle aussi bien coachée - a trouvé le point faible d'Ophélie, ça lui est fatal. Dans le même temps, Emilie et Benji se lancent dans leur premier set face à Marie Alonso et Frédéric Boivent. Ils ont du mal à débuter et font beaucoup de fautes, ils perdent donc leur premier set d'un large écart (11/21). C'est le moment du deuxième set, ils rentrent enfin dans leur match et le second set est nettement plus serré. Ils remportent le set après beaucoup de stress (21/19). C'est avec la vue d'un Kit Kat en cas de victoire, que Benji et Emilie attaquent le set suivant. Le set est encore très serré et nos deux Mauritaniens ont réussi à s'imposer dans le troisième et dernier set (21/15). Cela fait donc 3 matchs gagné à 2 pour le MBC, il nous reste donc plus qu'un point pour remporter la victoire et s'éloigner de la fin du classement.

Il ne reste plus que deux matchs avant la fin de la rencontre, et c'est le double dames avec Emilie et Ophélie, face à la paire de Retiers composé de Linda Dion et Marie Alonso, puis le double hommes avec Mimi et Gaétan face à David Orger et Frédéric Boivent. Les deux premiers sets des deux rencontres sont très similaires, serrés et passionnants. Notre double hommes doit céder le premier set (22/24), mais notre double dames réussit à s'imposer dans le premier set (24/22). Avec encore plus de stress, les paires se lancent dans les deuxièmes sets. Mimi et Gaétan ont beau donner toutes leurs forces pour remporter ce deuxième set, ils doivent tout de même s'incliner (15/21).

Vous l'avez donc compris, tout se joue sur le double dames. Le second set est moins serré que le premier, et les filles s'inclinent (16/21) au terme du deuxième set. Le troisième set sera donc décisif, il décidera de notre victoire ou non pour cette rencontre, et de notre maintien ou pas en D2. Peut-être stressées par une telle responsabilité, Emilie et Ophélie font beaucoup de fautes et s'inclinent (13/21). C'est donc encore une défaite, qui nous rapproche de plus en plus vers la division inférieure, mais vous pouvez compter sur toute l'équipe pour que l'on se donne à fond pour se maintenir. Alors venez nombreux le 10 mars à la salle de Mernel pour nous supporter, nous y rencontrons Chateaugiron, un autre prétendant au maintien, qu'il faudra absolument battre pour ne pas à avoir à faire d'énormes exploits.

BENNY